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Un virus commun devient une nouvelle cible pour le traitement de cancers


Un virus typiquement inoffensif, retrouvé chez 90 % des gens, est la clé d'un nouveau traitement pour un cancer particulièrement courant en Afrique du Nord et dans le Sud-Est asiatique. L'étude montrant que les antigènes produits par le virus Epstein Barr peuvent fournir une cible idéale pour la thérapie sera publiée en Mars 2005, dans Blood, le journal officiel de la Société Américaine d'hématologie.

Dix patients porteurs d'un carcinome avancé du nasopharynx ont été soignés avec l'aide de ce virus, associé communément avec ces tumeurs. Les patients reçurent des doses intraveineuses de cellules T spéciales qui ont été developpées par les chercheurs du Center for Cell and Gene Therapy at Baylor College of Medicine, Methodist Hospital in Houston, and Texas Children's Hospital. Ces cellules T furent créées en utilisant le sang des patients en vue de reconnaître les antigènes et détruire les cellules cancéreuses hébergeant le virus.

Selon le Dr Helen Heslop, M.D., Professeur de Médecine et de Pédiatrie à l' Université Baylor, les traitements habituels incluant des irradiations et la chimiothérapie échouent fréquemment et peuvent causer des effets secondaires sévères. Cette étude démontre que ce virus et les cellules T spécifiques montrent une activité remarquable chez certains patients ayant ce cancer et cela peut conduire à de nouveaux traitements pour le carcinome naso pharyngé.

Une majorité des patients ( 6 ) est complètement libérée de la maladie, un à deux ans après le traitement. Deux patients n'eurent aucune réponse au traitement. Le cancer d'un patient a progressé, ce qui a nécessité l'addition de chimiothérapie. Le patient a alors eu une rémission partielle, alors que les traitements précédents de chimiothérapie seule n'avaient eu aucun effet. Le dixième patient ne va ni mieux ni pire, son état est resté stable après le traitement.

http://www.hematology.org/



blood journal


Publié le 21-02-2005






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