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Nouvelle thérapeutique du diabète de type 2 nouvellement diagnostiqué

Selon une étude parue dans le journal médical, Diabetologia, un régime de huit semaines à 600 calories par jour pourrait renverser le diabète de type 2 chez les personnes nouvellement diagnostiquéesLes chercheurs de l'université de Newcastle ont montré que ce régime chez 7 personnes sur 11 a aidé la production d'insuline à redevenir normale. Les auteurs estiment que d'autres travaux seront nécessaires pour constater si ce retour à la normale reste permanent.Les 11 participants à l'étude dont le diagnostic avait été posé dans les quatre années précédant ont diminué leur ingestion alimentaire de manière drastique pendant deux mois.Dès la première semaine de ce régime, les chercheurs ont montré que les taux de sucre sanguin au réveil chez tous les participants étaient redevenus normaux. Des scanners du pancréas ont révélé que les taux de graisse dans cet organisme étaient passés de 8 % à 6 % qui est un taux plus normalTrois mois après la fin du régime, après que les participants soient revenus à une consommation alimentaire normale, la plupart ne souffraient plus de cette affection. Le Professeur Roy Taylor, auteur principal de l'étude ne recommande pas de suivre ce type d'alimentation. Ce test alimentaire ne fut en effet pratiqué que pour tester l'hypothèse qu'une perte de poids substantielle soignerait le diabète de ces personnes. Il est à noter en outre, selon les auteurs, qu'une telle restriction alimentaire ne peut être suivie que sous supervision médicale.


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Les essais thérapeutiques confirment les promesses d'un nouveau médicament pour la prostate

Les essais thérapeutiques ont concerné des hommes qui avaient épuisé toutes les autres solutions. Les auteurs ont trouvé que l'acétate d'abiraterone avait prolongé leur vie en moyenne de quatre mois. Les chercheurs espèrent que dans les cas moins avancés les bénéfices pourraient être plus importants. Le médicament, l'acétate d'abiraterone interfère avec la production de l'hormone testostérone qui peut alimenter la croissance du cancer de la prostate.Le traitement a été administré à plus d'un millier d'hommes souffrant de cancer avancé et agressif et dont le pronostic était très pauvre avec seulement quelques mois de survie. Les 797 patients à qui l'on avait donné l'abiraterone plus un stéroïde ont vécu en moyenne 14,8 mois comparés aux 10,9 mois pour les autres qui avaient uniquement reçu le stéroïde.Les examens au scanner ont montré que la croissance de la tumeur s'était arrêtée plus longtemps dans le groupe qui avait reçu cette médecine. Un autre avantage de ce médicament fut la relative absence d'effets secondaires en comparaison avec la chimiothérapie ou la radiothérapie rendant ce médicament beaucoup plus attractif pour les patients.Le médicament fut pour la première fois découvert par le Professor Peter Rigby. Les résultats thérapeutiques ont été présenté au congrès européen du cancer. Pour les auteurs ce médicament représente un pas en avant significatif.Pour le Dr John Neate les résultats initiaux sont particulièrement importants en offrant un nouvel espoir aux hommes diagnostiqués avec une forme avancée du cancer de la prostate car il peut rapidement manquer d'options thérapeutiques une fois que la tumeur cesse de répondre aux méthodes existantes inhibant sa progression.D'autres tests seront conduits dans des formes moins avancées pour tester le bénéfice que les patients pourraient retirer de ce médicament, probablement plus que celui des patients ayant pris part à cette étude.


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L'hormone qui contrôle l'appétit pourrait pourrait prémunir contre la maladie d'Alzheimer

L'étude, qui a duré 12 ans a concerné 200 volontaires. Parue dans le journal médical de l'association américaine (Jama), elle a montré que les taux bas de leptine pouvaient être reliés ? la présence plus importante des plaques retrouvées chez les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer. L'espoir est que la leptine pourrait être employée dans ce cadre comme marqueur et comme traitement de la maladie.La leptine est une hormone produite par les adipocytes. Elle indique au cerveau que l'organisme est repu et réduit alors l'appétit. Elle a été longtemps suspectée être une arme potentielle possible pour traiter l'obésité. Actuellement il est de plus en plus évident que cette hormone procure des bénéfices également ? la fonction cérébrale.Une recherche conduite chez les souris avait pour but de trouver pourquoi les patients obèses présentant du diabète avaient souvent des problèmes de mémoire ? long terme. Elle a montré que les animaux de laboratoire ayant re?u des doses de leptine étaient plus ? même de retrouver leur chemin dans un labyrinthe.La dernière recherche conduite au centre médical de l'université de Boston a entrepris de scanner le cerveau de manière régulière chez 198 patients volontaires pendant une période de 12 ans. Près d'un quart des personnes ayant les taux les plus bas en leptine ont développé une maladie d'Alzheimer en comparaison avec les 6 % de ceux ayant les taux les plus élevés.Pour les auteurs, si leur découverte est confirmée par d'autres chercheurs, les taux de leptine chez les patients ?gés pourraient être un possible marqueur de la santé du cerveau de la personne ?gée et de manière plus importante pourraient ouvrir de nouvelles possibilités d'interventions préventives et thérapeutiques.Il est ? noter que des études antérieures avaient montré que l'obésité ? l'age moyen était associée avec une augmentation du risque de démence. Cette nouvelle recherche suggère que la leptine pourrait avoir un rôle ? jouer.


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Un nouveau rapport concernant l'outil FRAX dans le management de l'ostéoporose

La fondation internationale pour l'ostéoporose (IOF) va émettre un nouveau rapport pour marquer la journée internationale de l'ostéoporose du 20 octobre 2009. Ce rapport est disponible ici .FRAX est un outil d'évaluation des . risques d'ostéoporose émis par l'OMS (organisation mondiale de la santé). L'outil aide les cliniciens ? identifier les hommes et les femmes chez il est nécessaire de prendre en charge cette condition et permet ainsi d'améliorer l'allocation des ressources limitées des soins de santé. Cet outil utilise plusieurs facteurs de risque connus pour calculer la probabilité ? 10 ans de fracture chez un patient.L'ostéoporose est souvent négligée. Paradoxalement elle est tellement commune que dans beaucoup de régions du monde une femme sur trois et un homme sur cinq après l'?ge de 50 ans vont souffrir de fragilité osseuse pouvant se compliquer de fractures. Ces fractures sont dévastatrices pour les personnes et représentent un souci énorme pour les systèmes de santé et pour la société.Cet outil est disponible dans six langues différentes et dans 18 pays. Les derniers modèles incluent l'Argentine, la Belgique, la Finlande, Hong Kong, le Liban et la Nouvelle-Zélande. Il est continuellement amélioré et étoffé pour une plus grande efficacité et facilité d'utilisation en pratique clinique. De plus les fabricants de scanners vont intégrer ce logiciel dans leurs softwares combinant ainsi les mesures de la Densité Minérale Osseuse (DMO) au niveau du col fémoral par ostéodensitométrie (DXA).avec les facteurs de risque clinique et ainsi calculer les probabilités de fracture ? 10 ans.


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L'ablation chirurgicale de petits polypes intestinaux serait co?teuse et inutile

Selon une étude réalisée ? l'école de Médecine de l'université du Wisconsin aux Etats-Unis, parue dans le journal médical Roentgenology d'octobre 2008, la polypectomie, c'est-?-dire l'ablation chirurgicale de petits polypes par coloscopie est co?teuse et inutile.Un modèle d'analyse décisionnelle a été construit pour calculer les conséquences cliniques et économiques de la surveillance pendant trois ans du cancer colo-rectal, de la coloscopie immédiate avec polypectomie ou ni l'un ni l'autre chez les patients ayant des polypes de 6 ? 9 mm retrouvés ? la colonographie (CTC - La CT Colonographie ou Colonoscopie Virtuelle par scanner est une technique qui permet, dans certaines indications, de réaliser une étude virtuelle en 3 dimensions de l'intérieur du colon de manière moins invasive qu'une colonoscopie classique.) Le modèle d'analyse a comporté une population hypothétique de 100.000 adultes de 60 ans présentant des polypes de 6 ? 9 mm détectés par CTC.Selon le Dr Perry J. Pickhardt, MD, principal auteur de l'étude, les résultats ont montré qu'en excluant les grands polypes et les masses importantes, le diagnostic par CTC permet de placer un patient dans une catégorie ? très faible risque rendant les colonoscopies pour petits polypes probablement non souhaitables. Près de 10.000 colonoscopies seraient en théorie nécessaires pour prévenir un décès au co?t de 400.000 dollars US. De plus il faut considérer qu'il y aurait 10 perforations et probablement un décès lié ? ces coloscopies supplémentaires. Dans ces conditions, pour l'auteur, il n'y a aucun bénéfice net en termes de prévention de mortalité.La gestion clinique des petits polypes détectés au dépistage du cancer colo-rectal a provoqué une polémique entre les radiologues et les gastro-entérologues. Selon l'auteur, on devrait permettre aux patients d'avoir le choix entre une coloscopie immédiate ou une surveillance.La colonographie (CTC) est maintenant une technique recommandée pour le dépistage du cancer colo-rectal par l'association du cancer américaine. Pour l'auteur, si des patients porteurs de petits polypes sont surveillés seuls 5 % des adultes dépistés par CTC devront subir une colonoscopie envahissante immédiate.


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