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L'étude, issue d'une collaboration internationale, le Cardiogramme Consortium, publiée en mars 2011 dans le journal médical Nature Genetics, confirme en outre les 10 sites mis en cause par de précédentes études et associés avec le risque de maladie des artères coronaires. Plusieurs de ces nouveaux sites découverts n'avaient jamais été mis en relation avec des facteurs connus de risque cardiologique suggérant ainsi des mécanismes nouveaux à l'origine des maladies cardio-vasculaires.
Selon le Dr. Sekar Kathiresan, directeur du service de cardiologie au Massachusetts General Hospital et l'un des auteurs de l'étude la connaissance de ces sites jette les bases du développement de nouveaux traitements ciblés sur ces gènes identifiés être associés au risque d'infarctus du myocarde et d'autres formes de maladies coronariennes.