Un état d'esprit fataliste conduit ? ce que beaucoup de personnes ignorent les conseils de prévention anti-cancer

Si vous pensez que vous ?tes prédestiné ? avoir le cancer, votre croyance pourrait bien devenir une prophétie. Selon une enqu?te de l'American Association for Cancer Research, concernant plus de 6000 adultes aux Etats-Unis, publiée dans le numéro de mai du journal médical Cancer Epidemiology, Biomarkers - Prevention, un nombre substantiel d'adultes américains sont d'un état d'esprit fataliste ? propos du cancer et sont dès lors moins enclins ? prendre des mesures de base pour diminuer leur risque de cancer, telles que celles de pratiquer de l'exercice, arr?ter de fumer, manger plus sainement et consommer davantage de fruits et légumes.

Selon le Dr Jeff Niederdeppe, Ph.D., professeur ? l'université du Wisconsin, Madison, beaucoup d'Américains semblent ?tre effrayés et se ressentir comme ?tre sans aide possible contre le cancer, ce qui peut ?tre aggravé par des informations contradictoires et un manque général d'éducation sur les causes et la prévention du cancer.

Les enqu?teurs ont demandé de bien vouloir répondre ? trois questions : environ 47 % des interviewés furent d'accord de penser qu'il semble que presque tout cause le cancer, 27 % estimant qu'il n'y a pas grand-chose ? faire pour diminuer les chances d'avoir un cancer et 71,5 % des personnes ont estimé qu'il y avait tellement de recommandations au sujet de la prévention du cancer qu'il était difficile de savoir quelles recommandations suivre.

Les personnes qui répondaient positivement ? une de ces trois questions étaient moins enclines que les autres ? tenter de pratiquer un exercice régulier, de manger autrement et de consommer davantage de fruits et légumes. Toutes ces croyances selon les chercheurs ont été associées avec un faible niveau d'éducation.

En dépit de la disponibilité de l'information concernant le cancer, les chercheurs concluent, que peu de progrès ont été accomplis pour changer la croyance que tout peut causer le cancer. Selon les chercheurs, il est peu aisé de se rendre compte si et ? quel degré les médias influencent les croyances. Le Pr Niederdeppe croit que les informations changeant constamment, les gens per?oivent les nouvelles comme souvent confuses ou pr?tant ? confusion. Pour cet auteur il est difficile de parler du cancer dans l'espace restreint de courtes nouvelles.

Le Dr Niederdeppe, si les nouvelles contradictoires de la science de prévention du cancer sont la cause de la confusion, suggère aux éducateurs de se concentrer sur le développement de messages simples pour dire au grand public ce qu'il peut faire pour prévenir la maladie.


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Publié le 21-05-2007


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