Vieillir moins vite :
Manger moins, penser et bouger plus
  

 

 



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Il ne fait plus de doute aujourd'hui que la santé est liée à la qualité et à la quantité de nourritures que nous ingérons jour après jour.

Des maladies de la nutrition comme l'obésité, le diabète et l'athérosclérose pourraient parfois déjà être déterminées dès les premiers jours de vie. La majorité des enfants obèses deviendront des adultes obèses. Chez l'adulte l'obésité est associée à un risque de surmortalité cardio-vasculaire et au diabète de type 2.   


Manger  

L'obésité est le résultat d'un bilan énergétique positif, c'est-à-dire d'un apport énergétique supérieur aux dépenses. Manger moins limiterait les dommages induits de l'ADN.

Bouger  


De nombreuses études ont montré une association entre le temps passé à des activités sédentaires (télévision etc..) et le risque d'obésité. 

L'activité physique induit elle une régénération des mitochondries des cellules musculaires.

Penser   

Penser plus aurait une action de la structure tridimensionnelle de notre ADN et sur l'expression de gènes qui contrôlent la création de nouvelles connexions entre les neurones.

De nombreuses expérimentations ont maintenant apporté la preuve que ces trois mesures sont d'une efficacité réelle ( chez les animaux ) contre le vieillissement

Le but de l'étude CALERIE - Comprehensive Assessment of Long-term Effects of Reducing Intake of Energy - est de mieux comprendre l'effet de la restriction calorique prolongée sur le vieillissement humain et de tester si les pratiques de régime hypocalorique chez l'homme de poids normal sont sans danger. L'étude CALERIE est financée par le National Institute on Aging (NIA).

 



Obésité

Si on parle actuellement d'épidémie de l'obésité c'est d'une part en raison de la rapide progression de l'obésité et d'autre part de son énorme impact sur la santé des populations.

On estime qu'il y a 314 millions de personnes au monde qui souffrent de tolérance abaissée au glucose et que le risque de diabète de type 2 chez celles ci est de 70%. Aux USA on estime que l'obésité est responsable de 300.000 décès par an, ce qui la place juste après le tabac : 61% des adultes américains seraient en effet soit en surpoids soit obèses.

Des données récentes montrent aussi que près de 30% des adolescents en surpoids ont un syndrome métabolique, ce qui représente environ 910.000 adolescents US.

Parallèlement, on constate une hausse du diabète de type 2 et du syndrome métabolique. Dans le monde on estime qu'il y a 194 millions de personnes qui souffrent de diabète, dont 90 % du diabète de type 2. Une multiplication par deux de ce chiffre est attendue dans les 25 prochaines années.

Environ 47 millions d'Américains soit 23% ( presque 1 adulte sur 4 ) ont un syndrome métabolique. Ce chiffre inclut les 10 à 15 millions de personnes ayant un diabète de type 2 . Selon l'OMS et la Fédération internationale du diabète : " Si des mesures ne sont pas prises maintenant, il y a un risque important que les gouvernements et les sécurités sociales se trouvent dans l'incapacité de garantir des soins appropriés aux millions de personnes atteintes en 2025."

Calcul  

Un surpoids ou l'obésité de l'adulte est déterminé par le calcul du " Body Mass Index - BMI" ou " Indice de Masse Corporelle - IMC" , défini par le poids en kilogs divisé par le carré de la taille en mètre.

Classification de l'excès de poids sur base de l'IMC - BMI

 poids normal -  entre 18.5 et 24.9
 obésité moyenne  entre 25 et 29.9
 obésité majeure - Classe I  entre 30 et 35
 obésité majeure - Classe II  entre 35 et 40
 obésité morbide - Classe III  supérieur à 40



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